odeur de la terrereflexion sur l'ecologie et la science
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bonjour, ce peut être un pic vert (noir avec des ronds blancs). http://odeurde laterre.center blog.net
Par odeurdelaterre, le 12.01.2025
c'est un ami qui héberge ma page, et il s'appelle julien blanc :)
et ce dont traite ces recherches, c'est à p
Par Anonyme, le 29.09.2024
le poste de con serieux vous arrivez pas a faire le difference entre gene et gini, gini c'est : l'indice (ou c
Par Anonyme, le 03.08.2024
vraiment aimable ce poème, je vais l'utiliser en classe comme activité ludique pour les enfants.
Par Anonyme, le 25.11.2023
bonjor, j'ai trouvé en forêt une plume comme la 7 et la 8 mais, il s'agit de quel oiseau ??? les deux se resse
Par Anonyme, le 16.08.2023
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Date de création : 21.03.2008
Dernière mise à jour :
15.01.2025
1765 articles
Eskawata Kaya we (Guerison, transformation)
Appelle aux esprits de la nature - communauté Huni Kuin d'Amazonie.
L'association Jiboiana a été créée par deux français, Laetitia Jeanpierre-Berraud et Leo Landon, et dont le bureau se compose de six membres. Ils coopèrent avec des populations autochtones d'Amazonie, en particulier, les Yawanawa, les Huni Kui, les Noke Koi, les Pataxo et encore d'autres. Leurs objectifs, souvent à la demande des populations, est de creuser des puits car l'eau est contaminée par le mercure résultant de l'orpaillage, ou l'achat de terres, ou encore la plantation d'arbres. Ils organisent chaque année un voyage en Amazonie afin d'exercer des travaux de bénévolats auprès des populations autochtones, mais invitent également des portes paroles autochtones en France afin de sensibiliser l'opinion sur les difficultés que rencontre les communautés d'Amazonie. Les actions concrètes de l'association la rend crédible et nous donne confiance en sa pérennité.
Ici une interview de Leo Landon par Tell Me Your Story.
2008 - 2025
voici pour donner des nouvelles,
Quand on est jeune, on a beaucoup de certitudes. Heureusement, la vie nous assoupli et nous invite a regarder les choses dans leurs angles multiples.
Quand on est jeune, on fait des bêtises sans en avoir conscience. On ne réalise que plus tard, qu'il s'agissait de bêtises. Cela nous invite à mesurer chaque geste et chaque parole. Moins de gestes et moins de paroles, c'est moins de bêtises. Ecouter et regarder est davantage honorable que dire et agir.
Je me sens désormais comme un animal qui veut la tranquillité de son terrier. Car parfois se regarder soi même fait peur. Mais il faut se voir, et se connaitre. Il faut d'abord se connaitre soi même avant de connaitre le monde. Je crois avoir voulu faire l'inverse.
Connaitre ses ombres et ses lumières, c'est savoir les identifier, et ne pas les laisser agir à notre place.
Se connaitre soi même, c'est sans arrêt se déconstruire, pour mieux se reconstruire. C'est savoir dire oui et savoir dire non. Et cela prend des années.
Je ne veux plus parler, je veux écouter. Je ne veux plus explorer autours, je veux d'abord explorer à l'intérieur.
Et chaque expériences, bonnes ou mauvaises, est une manière de s'explorer à l'intérieur. Et on ne s'explore jamais mieux qu'au contact des autres.
Entre ce que l'on pense de nous même, et ce que nous sommes.
Entre tel que nous aurions agi, et tel que nous agissons.
Nous enlevons toujours une couche d'aveuglement, pour parvenir à la lucidité, comme on affine l'ouvrage.
Il n'y a pas de vérités, il n'y a que ce qui est. Les belles paroles et les grands apparats sont vains. La vie, sans discours, se suffit à elle même, pour être.
Je dis pardon, je dis merci, je dis nous sommes.
Geoffroy Delorme, surnommé l'homme chevreuil, a rédigé son expérience auprès des animaux des bois. Je l'avais vu dans le 28 minutes sur Arte, et ai vu par hasard son livre en magasin. Piqué de curiosité, je l'ai acheté et je suis en train de le lire. Et, bien que n'ayant pas vécu avec les animaux et ne les ayant que peu croisés, je retrouve bien un air de déjà vu de par mon expérience dans la verte. Les matins frais, les herbes, la cuisine au feu de bois, les jours qui se suivent entre émerveillement, apprentissage et désagréments, tout y est. Le fait est que nous avons le même âge et avons débuté nos expériences presque en même temps.
L'individu est décrié à la fois comme un porte parole des animaux au récit fascinant pour les uns, comme un affabulateur mythomane par d'autres. Que penser alors...
Je dirais, il y a du vrai. Ce n'est peut être pas entièrement fidèle, ou un peu enjolivé, mais je veux bien croire qu'il y a du vrai. Et les faits le montrent, à savoir une vidéo où celui ci est assis, un chevreuil marchant à ses cotés, et le fait qu'il soit confirmé par le gérant des lieux qu'il ait réellement passé du temps dans les bois.
D'aucun disent que personne ne l'a jamais croisé dans les bois, je dirais que personne ne m'a jamais croisé non plus quand j'étais dans la verte.
Je n'ai par ailleurs que peu croisé d'animaux, c'est exceptionnel. En tout et pour tout je crois, un brocard et deux blaireaux. J'étais assis à la nuit tombé, le brocard se tenait juste derrière moi et je ne l'avais pas vu. J'ai du faire un mouvement brusque et son cri affreux m'a surpris, j'ai cru à un chien et me suis précipité sur un arbre tandis que j'ai vu le chevreuil courir dans l'autre sens. Il est vrai aussi que en montagne au cours d'une ballade, j'avais vu un animal, je ne sais plus mais un chamois je crois, en tout cas un animal gros et magnifique. Nous étions rester un long instant à nous regarder immobiles avant qu'il ne reparte. Quand aux blaireaux, ils marchent sans se préoccuper de personne.
Pour avoir dormi dans les bois, pour être parfois resté cinq jours de suite (la diarrhée avait tendance à écourter mes séjours) pour avoir principalement mangé des plantes et du riz cuit au feu de bois, pour avoir goûté aux lichens, plantains, orties, pissenlits, fleurs d'accacia, primevères, ail des ours, trèfles, je sais que ce genre d'expérience est possible et qu'elle ne s'acquiert pas en un week end. Il faut commencer par une nuit, puis deux, puis trois...Je sais aussi que la jeunesse a une santé de fer et des anticorps au plus haut niveau. On ne fait pas la même chose à vingt ans et à quarante ans. Il faut aussi avoir des base en médecine lorsqu'il faut guérir une diarrhée, une indigestion entrainant un mal de ventre, ou un début de grippe. Cela ne remplace pas le médecin mais peut atténuer le mal.
Les deux bases essentiels me semblent aussi d'avoir un abri bien étanche et une source d'eau potable (ou alors sa propre bouteille d'eau). Mais il me semble difficile de vivre sans eau et sans abris, bien que l'on peut aussi capturer la rosée avec un tissus et le presser dans un bol.
Voilà donc mes impressions, mon retour, les points que je partage et les points plus mesurés.
Et comme on dit en langage chevreuil : "huaaaaaaaaaa' "
L'humain est voué à se métisser, à se mélanger. Pourquoi ne pas se réjouir, d'un futur métissé, en France comme ailleurs. Quelle est cette peur, de perdre son paraitre locale pour montrer son appartenance à la famille humaine. Et quand bien même les générations prennent des couleurs caramels, ébennes, faillence, des yeux bridés, d'un noir profond comme d'un bleu cristal. Pourquoi donc nos forêts ne sentiraient pas les pieds de toute couleurs, et nos printemps aux peaux de miel d'extreme orient, de caramel latino, de café méditerranéen, de blancheur douce aux cheveux de feu ? N'es-ce pas la beauté, celle des étés de tajines et de nems, des automnes de chataîgnes et de feuilles enflammées, d'hiver aux chants des quatre coins de la terre autours d'un feu de bois. Saisissons notre chance, celle d'un future aux senteurs de rose et de jasmin, de lavande provinciale, de fleurs des îles.
Seul l'éducation fera le reste, l'éducation est la racine principale de l'enfant pour devenir l'adulte exemplaire de demain.
Avec des pierres brutes nous pouvons bâtir des murs d'ignorance et de repli.
Avec des pierres taillées nous pouvons bâtir l'édifice du monde pour accueillir l'humanité
Citation de l'auteur romain Varron, Marcus Terentius Varro ( - 116 BC à 27 AD), Agriculture livre 1.
Citations de Pline l'ancien, ou Gaïus Plinius Secondus, auteur romain, au premier siècle de l'ère commune
Voici près de 11 ans que le jardin des lentillères a été bâti sur une friche, et 11 ans de lutte avec la mairie et les forces de l'ordre. En effet, un projet de construction d'un éco-quartier devait avoir lieu sur la friche. Les lentillères ont eu enfin gain de cause, et peut-être par le sacrifice du squat des tanneries, dont les occupants ont été relogés à une autre adresse, et les tanneries ayant été rasés afin de permettre la construction des eco-quartiers à la place. Ainsi, les tanneries ont perdu le squat, mais ont gagné la friche. Aujourd'hui, le jardin des lentillères demeure fièrement à coté de l'éco-quartier.
Il fut un temps où les buildozers venaient défricher les arbres fruitiers, retourner la terre et faisant des crevasses, démolir des maisons occupées comme la Villa. Les artisans des lentillères et les sympathisants manifestaient dans les rues avec fourches et panneaux afin de sauver le projet. Des discutions animées voir éléctriques avaient lieu dans des locaux entre la mairie et les jardiniers des lentillères.
Au final, les jardiniers et la mairie ont pu trouver un compromis, par un sacrifice victorieux des tanneries.
L’association Terres de Cabanes a créé un projet de jardin partagé dans le département du Limousin. Le terrain a été gracieusement offert par la ville, et l'équipe des espaces verts de la ville apporte son aide matériel et ses conseils. A l'occasion des chantiers les mercredis (suspendus le temps du confinement) une soupe collective est distribuée, aux aides jardiniers lesquels comportent des jeunes du service civique, mais aussi aux visiteurs et parfois aux migrants. Le chantier a été ouvert au coeur d'un quartier défavorisé, l'association terres de cabanes espère sensibiliser les habitants du quartier au jardin partagé, et qu'ils prendront part à l'activité. Les noms des essences seront écrits en arabe, français et dialectes ghanéens afin que la population puisse les identifier. La récolte servira entre autre à l'épicerie solidaire du quartier.